Fifi à Graz, presque 1000 bornes !


Carnet de voyage... / dimanche, avril 1st, 2018
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Bâ oui, mais il y a de l’autobahn dans ces 1000 bornes (ou peu s’en faut, soyons juste).
Bref, départ à 08h00 comme prévu, sous une averse. Le chargement inhabituel, plus les pneus K60 hésitants sur le mouillé, plus moi qui n’aime pas trop le mouillé, plus le stress du départ… Bin j’ai pas fait coucou de la main en remontant ma rue…

Hop ! Donc départ sur le mouillé, sous la pluie, chargé et monté de pneus réputés mauvais, voire dangereux dans ces circonstances. Mais… comme je ne suis pas un enduriste, je me mets en mode pluie, et j’y vais.

Température ? Ha bin non, je l’ai pas dit : 5,5° avec un bon vent d’ouest qui pousse un régime d’averses.

Direction Mulhouse, pluie, vent, pluie et ho ! miracle en arrivant près de Fribourg, premier bout de route sèche ! Mais ça ne dure pas, si le thermomètre remonte à 8,5° en ville, en grimpant vers le Titisee, il chute à 4°, puis à 3,5° et les averses se transforment en neige. À travers le reste de la Forêt Noire et le début de la Bavière, c’est de nouveau les averses, mais plus espacées, et un vent d’ouest très fort dès que l’on est en terrain dégagé.

Plus loin on se faufile dans la vallée du Danube, tout petit et tout mignon, et après Sigmaringen (le château ne se visite pas, mais on peut l’habiter, ça s’est vu…)  c’est l’arrivée de nouvelles autoroutes sans intérêt jusqu’à Munich, puis Salzburg, Linz et enfin après divers péages, Graz.

Arrivée à Graz à 19h30, quasiment à la nuit, premier hôtel qui se présente dans les faubourgs, c’est le bon, il y a un parc fermé derrière, le wifi, et des commerces (presque tous fermés, c’est dimanche de Pâques) dans le quartier.
Un hamburger maison avec une salade, une ‘tite bière et au lit.

Carnet de voyage complet.

2 réponses à « Fifi à Graz, presque 1000 bornes ! »

  1. Nous connaissions les prévisions météo, donc ton commentaire ne nous a pas surpris sauf que nous n’imaginions pas que tu puisses faire 1000 km dans ces conditions !
    Bonne poursuite !
    À te suivre,
    Denis, Jacqueline et la famille catalane.

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